Attention sensibles entre Aza et Lucian

par Invité Mer 12 Nov - 1:59

Elle était en train de pleurer dans ses appartements. L'alcool lui coulait à flot. Elle semblait être perdue dans ses pleurs. Elle avait le maquillage ravagé par ses larmes. Elle était sur un fauteuil avec une bouteille de vin à la main... Ses vêtements sont déchirés par endroit. On cogna à la porte...

QUOIIIIIIIII ? qu'elle cria comme une forcené....

par Invité Mer 12 Nov - 16:09

Quelle son agréable que celui de l'hystérie féminine en action. Lucian sourit, méchamment, comme à son habitude. Ce sourire qui le rendait autant irrésistible qu'haïssable. Devant la porte, il hésita un moment, sachant sans doute que l'espoir qu'il pourrait partir la consolerait... Mais il y a tant de plaisir à détruire la moindre particule de ses envies en en pénétrant dans la pièce moins de quinze secondes plus tard, le torse bombé, et encore, ce fameux sourire pendu à ce visage trop beau pour être celui d'un ange. Il était de ces hommes-monstres qui aimaient détruire les choses, les vider, les dépecer, les écraser... Mais encore : les rendre dépendante de sa personne sans qu'ils ne réussissent à s'évader de ses mains qui pouvaient à la fois vous étrangler et vous caresser.

''Vous êtes éblouissante, comme à votre habitude '' Ironia-t-il avec un rire claironnant.

Ses lèvres firent une moue presque mécontente de son état :

'' Regarde-toi, si indigne de ton rang. ''

il s'approche même jusqu'à pouvoir l'empoigner au menton avec raideur :

''Tu es affreuse,''

Et ça l'amusait. Cela se voyait dans ses yeux qui brillaient d'excitation de la mettre hors d'elle.

par Invité Mer 12 Nov - 23:17

En hurlant de toute ses forces. Il n'avait que faire, il rentra dans la pièce, comme... Comme si rien ne l'était... Vraiment! Ses yeux d'Aza lui lançait des regards noirs, comme des flèches. Il lui répondait qu'elle était éblouissante.... Bien sur, vêtements déchirés, le maquillage défaite par les pleurs.. Puis, il rétorqua qu'elle était indigne de son rang. Elle avait alors un rire si... étrange... Elle se fouta carrément de ses remarques idiots... Puis fidèle à son habitude, il lui prit sèchement son menton en lui répliquant qu'elle était affreuse... Elle le savait qu'elle n'était pas jolie. Elle n'était que son pantin, son jouet. Elle le savait que ce n'était pas bien mais.... Il y avait quelque chose en lui qui lui attirait comme un aimant quoi... Cela l'a metta de mauvais poil bien évidemment...

Et puis, vous n'empêchez pas de venir me voir hein! Je suis juste que ta PUTAIN!...

Elle lui enleva sa main sèchement et se leva vivement de son fauteuil avec sa bouteille. Elle marcha un peu en zigzag mais elle était quand même capable de marcher... Elle se dirigea alors vers la fenêtre avant de s'essuyer pour la millième fois son visage ou le maquillage était étendu sur sa manche de sa robe, qui de toute façon, était finie... Elle se mit alors être pensive sur le bord de la fenêtre et accota alors son front dans la vitre.... Elle semblait rester pour un moment là..

Alors, M. Borgia.... Qu'est-ce que tu veux à la fin??

par Invité Jeu 13 Nov - 1:54

Il rit, radieux, haussant un sourcil, profitant du jeu que lui offrait cette mise en scène si pathétique.
Une véritable tragédie grecque interprétée par une toute aussi vraie actrice de vaudeville. Il ne put se résoudre à lui ficher la paix : cela ne faisait que commencer. Il profitait des moindres larmes, des moindres cernes creusés par la fatigue : il s'alimentait à cette misère avec une indifférence arrogante.
Mais il y avait ses yeux, ses yeux qui brillaient, qui faisaient tourner les têtes, qui envahissaient le regard et la tête : Lucian était vénéneux. Comment le haïr convenablement quand il prenait un malin plaisir à cette haine jusqu'à la faire abandonner.
Le noble resta droit, fier, au-dessus de la situation, passant du rôle de spectateur à celui de protagoniste à la seconde où elle se débattait, comme un oiseau blessé : il lui avait abattu les ailes, mais elle rampait, malgré elle.
Il se fit d'ailleurs un plaisir de lui rappeler à quel point il était en avantage sur elle : le jour où il déciderait de mettre fin à son jeu, elle serait comme toutes les autres filles qui pleurent leur déshonneur et leur pitoyable existence.
Il s'arma d'un sourire malin, charmeur, séducteur, même :

''Le jour où tu t'attriqueras comme une femme de ton rang et non comme une putain, peut-être pourrais-je arrêter de te considérer comme telle, Khilkov. Un nom si digne, trainé dans la boue par une fille de ta trempe. C'est du gâchis. ''

La supériorité masculine, c'était ça, son avantage. Les femmes n'avaient pas tous les droits : elles étaient des contrats de prestige, d'argent, des alliances. Trop émotionnelles pour se livrer au monde des hommes, elles n'étaient que de jolies présentoirs dont on pouvait se lasser sitôt leurs atours ne convenaient plus.
Il l'observa se rendre à la fenêtre avec son traditionnel calme.
Et pendant qu'il resta un moment à regarder la posture virginale qu'elle coulait à la bouteille, Lucian effaça son sourire.
Que voulait-il?

''Rien qui puisse se trouver ici, je le crains, femme. ''

Cette fille devait comprendre à qui elle s'adressait.
Et encore mieux : elle devrait prendre sa place. Elle n'était qu'une femme.

Et sans s'annoncer, il tourna les talons, s'apprêtant à sortir.

par Invité Jeu 13 Nov - 2:50

Elle avait envie de le mordre. Oui carrément le mordre. Elle ne savait pas pourquoi il l’attirait. Il était méchant… Vraiment méchant. Il était pathétique. La bouteille à la main, elle buva d’une grosse gorgée. Elle aimait le goût de la boisson qui lui procurait, elle se sentait de plus en plus ivre et cela le mit de bonne humeur malgré tout.

Mon nom est dans la boue justement…. Vous avez vraiment raison M. Bougia. Khilkov est un nom que je pourrais être considérée comme une PUTE !!!!

Elle le regarda avec des yeux qui étaient remplies de larmes. Il réussissait toujours à lui faire de la peine et pourtant, elle aimait s’amuser avec lui. Elle ne comprenait pas pourquoi cette attirance qui lui menait à rien. Mais parler de son rang lui venait brouiller encore plus son humeur… Elle n’aimait pas quand il attachait une importance à son statut…. Le souffle court, elle ne lui répondait pas. Cela lui rappelait atrocement ses souvenirs qu’elle voulait visiblement oublier … Elle calla alors encore une fois la bouteille et sentit le liquide lui couler dans son estomac. Elle se sentait bien…. Heureuse de gâcher sa vie en fait….. Elle lui avait demandé ce qu’il fabriquait là dans sa pièce. Il semblait lui répondre qu’il ne trouverait rien ici.... QUOI ? Il n’allait pas lui faire grincer les dents… Elle se tourna et fusilla un regard noir. Elle s’avança alors et lui prit le bras sèchement avant de le retourner vers elle. Elle finit alors de boire sa bouteille avant de lancer en arrière d’elle avant de lui pousser sur le lit. Elle s’avança alors vers lui et lui mordilla ses lèvres. Elle lui prend alors ses poignets et le serra durement…

Vous n'allez pas quitter de la pièce ! C’est moi qui vous le dis !

Elle mit son genou sur son sexe et le pesa le plus fort possible. Elle riait dangereusement, elle aimait le faire souffrir, c’est sa façon à elle de contre balancer les méchancetés qu’il avait dit à son propos…..

Et puis ça ? qu’elle le dit méchamment…

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