Un nouveau venu

Depuis plusieurs jours maintenant Anskar voyageait à cheval en direction de Paris, son cheval était un Lipizzan, sa robe encore légèrement grise traduisait le jeune âge de l’animal qui, à l’âge tout à fait adulte serait totalement blanc. Ce cheval, qui provenait directement du haras autrichien  de la famille Hasbourg fut donné à Anskar en cadeau.
Le cheval était équipé d’une selle montée sur un tapis rouge qui contrasté avec la couleur gris blanc de l’animal et des vêtements noir que portait le cavalier,  derrière cette selle se trouvait un gros sac posait sur une boite, dans ce gros sac en cuir il y avait le peu d’affaire dont avait besoin Anskar car il avait pour habitude de voyager léger, d’acheter sur place et de laisser à qui voudrait de ses affaires lors de ses départs.

Anskar galopait en direction de Paris et arrivé aux portes de la ville il arrêta son cheval, en descendit, se dirigea vers la besace qui lui servait de valise, en dessous de laquelle il tira la boite qui mesurait environ quatre vingts centimètres de long, c’était dans cette boite que se trouvait son meilleur ami et confident : son violon. Il le plaça sous son bras droit et de sa main gauche il attrapa les rennes de son cheval et se dirigea tranquillement vers le centre de Paris.

D’un pas décidé, Anskar entrait dans la capitale française, il n’avait pas la démarche qui allait avec son rang, on aurait cru voir un domestique un peu maladroit marcher, qui ramenait sans doute ce cheval à son maitre et propriétaire, mais non, ce jeune homme était maitre et propriétaire du cheval et il prêtait simplement peu d’importance à son apparence ; sa veste était à moitié ouverte, ses cheveux avaient gardés la forme que le vent avait bien voulu leur donner, une des manche de sa chemise blanche dépassait de sa veste, ses chaussures montrées qu’il avait beaucoup marché et qu’elles n’avaient pas été entretenu depuis quelque temps, la boite qu’il tenait fermement sous son bras droit était extérieurement fort usée, on aurait pu se demander comment le contenu pouvait encore tenir à l’intérieur.


Depuis plusieurs heures Anskar marchait dans la capitale à la recherche d’un hôtel ou d’une auberge où il pourrait s’établir quelques mois, il avait admiré l’architecture parisienne, la façade monumentale du Palais de Justice notamment, l’orientation n’était pas un de ses points fort et s’était déjà la troisième fois qu’il passé rue Montorgueil au coeur de Paris.

Il râlait intérieurement : Pourquoi est-ce que je ne prends jamais une carte de ces grandes cités avant de m’y rendre ?! A chaque fois c’est pareil, je tourne en ronds à la recherche d’un logement ! Aussi, il pourrait y avoir des indications d’orientation pour les étrangers ! En plus c’est à Versailles qu’il faudra que je me rende plus tard, j’espère que ce n’est pas trop éloigné de Paris sinon il me faudra prévoir soit un domestique pour m’orienter soit plusieurs heures de recherche durant les premiers jours de trajet.

Pour éviter de tourner en rond encore et encore il décida de longer la Seine il pu ainsi admirer entre autre la construction  de l’Hotel de la Monnaie. Il tira sur la bride de son cheval, qui s’avança machinalement à coté de lui, quand il porta sa main à sa poche pour en sortir un mouchoir avec lequel il s’essuya le visage.

Que je ne sois pas trop en sueur, car la prochaine personne que je croise, je lui demande ma route !

Apres être une nouvelle fois passé rue de Montorgueil Anskar n'avait toujours pas trouvé un endroit où logeait et le peu de passant qu'il avait croisé s'écartaient en le voyant sans même lui répondre sans le vouloir il se retrouvait encore une fois au bord de la Seine

Sont-ils tous muets dans cette ville ? Personne ne daigne me répondre !

Il prit une minute pour se regardait dans le reflet d'une vitrine, en voyant son reflet il haussa les épaules

Et bien ?! Je n'ai rien d'effrayant pourtant !

Tout à coup, au loin devant lui, Anskar aperçu une jeune fille au cheveux brun clair qui avançait doucement dans la même direction qu'Anskar, elle lui tournait le dos.

Anskar décida d'accélérer le pas pour arriver au niveau de la jeune fille, suffisamment proche pour que cette dernière puisse l'entendre.

Celle la je ne lache pas jusqu'à ce qu'elle m'ai donné une indication de route ! Même si je dois rester à coté d'elle pendant plusieurs lieux

Il y avait bien six cents mètres entre eux deux et malgré le pas rapide d'Anskar ce dernier avait du mal à rattraper la jeune fille qui pourtant ne marchait pas rapidement, il faut dire qu'Ansar marchait depuis plusieurs heures et il avait profiter de croiser quelques tavernes, qui malheureusement ne faisaient que servir à boire et à manger mais ne logeaient pas, pour ce rafraichir le gosier, il se trouvait donc fatigué et puis ses jambes commençaient à lui faire sentir qu'il marchait depuis plusieurs lieux et plusieurs heures.

Arrivé à une centaine de mètre de cette jeune fille qui, il le constatait, il n'arriverait pas à la rattraper, il se décida à l'interpeller :

"Hé !
Mademoiselle !!
Vous la devant !  Mademoiselle la brune !!
Retournez vous s'il vous plait ! Je ne vous veux pas de mal !! Je cherche ma route !
Hé !!
Mademoiselle !!
Mademoiselle !! "

*Feena qui marcher tranquillement tous tant chantonnant s’arrêta soudainement quand t’elle entendit une voie masculine l’interpeller lui demandent de l’attendre qu’il ne lui voulait aucun mal qu’il cherche juste son chemin.*
* Quand t’elle s’arrêta et se retourna alors verre le jeune homme qui devait avoir approximativement son âge elle constata très vite que celui si vu ses habille, physique et accent n’était originaire de Paris sans conter que celui si avait l’air grandement fatigue,  épuiser et assoiffer prêt a s’écrouler aux pieds de sa monture avec son coffre a la main. Nul doute que cela devait faire des heures qu’il marcher dans les rues et chemins de la capitale sans trouver son chemin n’y une âme charitable pour l’aider.*
*Elle décida alors de prendre les devant et de le rejoindre pour éviter qu’il ne s’épuise encore plus pour lui offrir volontiers son aider et un peut d’eau.*

« Attender bougé pas j’arrive ! »

* Dit-elle avant de rejoindre son interlocuteur à petit fouler. Une fois devant lui elle sorti de son petit sac une gourde rempli d’eau fraiche qu’elle lui tendit avec le sourire.*

« Tenez ! Buver vous avez l’air assoiffé ! »

Anskar fut surpris que cette personne lui demande de ne pas bouger. Il avait encore bien assez de force pour se mouvoir seul.
D'un air surpris il de s'observa de la tête au pieds

Suis-je si mal fagoté qu'elle me prenne pour un mendiant ? ou je ne sais quoi ?

Il se saisit de la petite gourde et la regarda d'un air ahurit pendant un instant.
Il tendit la gourde à Feena sans l'ouvrir pour y boire.
Il se redressa un instant pour se donner un peu de prestance, et passa sa main dans ses cheveux pour les basculer en arrière. Il resserrât un peu l'étreinte de son bras droit sur la boite usée qu'il tenait

"Je n'ai pas soif, je vous remercie Mademoiselle.
Je suis nouveau dans cette ville, c'est la première fois que j'y viens et je cherche un endroit où loger, un hôtel serait idéal, une auberge si vous ne pouvez pas m'indiquer d'hôtel. Etes-vous de Paris ? Connaissez-vous bien cette ville si oui, j'aimerais savoir où se trouve Versailles ou loge la Cour, il me faudra m'y rendre et aussi où se trouve  l'Opera dans Paris ? Il me semble que Christoph Willibald Gluck viens d'y faire la représentation d'Orphée et Eurydice mais je n'ai vu dans mon malheureux périple en quête d'un logement aucune affiche de cet Opera qui a du pourtant reformé tous l'Opera tel que les français le connaissaient avant enfin il est vrai que le français est piètre amateur de musique..."

Anskar se rendit compte que sa conversation était un monologue et il stoppa son analyse sur les qualités de l'auditoire français.

"Mais excusez moi je parle, je parle, je ne vous laisse meme pas répondre et je manque à toute politesse, mais c'est une habitude, je ne me suis pas présenté, je suis Anskar Lunnyysvet. "

*Feena fut grandement surprise par le jeune homme en face d’elle qui apres avoir accepte sa gourde qu’il dévisagea un instant avant de le lui rendre avec politesse et lui disant qu’il n’avait pas soiffe, la bombardai de questions avant de se lance dans un longue discoure sur la musique et un certain Christoph Willibald Gluck qui avait joue a l’opéra de paris*

*Quand celui si se rendit conte de toutes les informations qu’il lui avait demandé sans lui laisser le temps de répondre et son discoure il se tue un instant avant de s’excuse de son attitude pour ensuite se présenter a elle.*

*Apres l’effet de surprise, Feena ne put s’empêche de rire légèrement devant la fougue et la passion du jeune homme pour la musique et tous le reste avant de se reprendre et de lui dire.*

« Se n’es rien ne vous inquiéter pas, cela et rare de voir une personne aussi vif et passionner par la musique ! Enchanter de faire votre connaissance Monsieur Lunnyysvet, moi c’est Rose, Rose Hathaway ! Et je comprends vos embêtement à trouver votre chemin dans cette grande ville, je viens moi-même d’arriver il y a quelques jours et j’ai encore du mal a mit retrouver par moment, mais heureusement pour moi j’ai une bonne mémoire et sans de l’orientation. Pour se qui et de la question du logement désole je ne connais pas d’hôtel, mais je loge actuellement dans une petit auberge, taverne très conviviale et bien tenue par deux personnes charment, il me semble qu’ils ont encore des chambre disponible, si vous le souhaiter, je peux vous y conduire ? Quand t’au château de Versailles et sa cour elle se trouve hors de Paris se n’ai pas tous prêt, je conte mit rendre dans les prochains jours, mais si vous le désirer je pourrai vous prêter ma carte et vous indiquait le chemin et pour l’opère désole je ne sais pas ou il se situe exactement, mais nous pourrons je pense le trouver son emplacement sans problème sur la carte ! »

Le visage d'Anskar passa par toute sorte d'émotions alors qu'il écoutait Rose Hathaway.
D'abord un étonnement quand Rose lui dit qu'il était rare de voir quelqu'un d'aussi passionné par la musique
Puis un soulagement de savoir qu'il n'était pas le seul à s'orienter difficilement dans ces grandes villes
Un peu de déception lorsque Rose lui annonça qu'elle venait d'arriver il y avait quelques jours
Une déception plus grande quand elle lui annonça qu'elle ne  savait pas  où il y avait un hôtel, son regard se montra un peu rassurer lorsque Rose annonçât qu'elle connaissait une auberge où il restait peut être une chambre.

Anskar réfléchit un instant il ne pouvait que ce contenter de l'auberge pour l'instant

"J'aimerais bien que vous m'indiquiez cette auberge, ça sera temporaire, je sais que je suis bruyant et aussi convivial et sympathique que soient les gérant de cette auberge ils en auront vite assez de mes tapages, j'en ai malheureusement l'habitude, ce n'est rien.
Pour ce qui est de Versailles, si vous voulez bien me prêter votre carte cette nuit....j'en ferais mon affaire et je vous la rendrais dès demain."

Anskar devint songeur

Il me faudra trouver un hôtel ou une demeure, un appartement, quelque chose...
Comme d'habitude dans les auberges, je risque d'avoir des ennuis, le français sera peut être pire que tout autre....

*Le visage du jeune homme passa sous plusieurs expression plus ou moins joyeux face a ses réponse devant ses question qu’il lui avait possait, avant de prendre a son tour la parole la remercient dans un premier temps avant de le lui demander si elle pouvait lui indiquait la dite auberge dont t’elle lui avait parle a l’instant, et si elle accepter toujours de lui prêter sa carte pour l’étudier et trouver son chemin avant de le la lui rendre le lendemain, ajoutant qu’il ne resterai peut de temps la bat pour éviter de gêné les gents avec ses tapage fréquent qui risquait de déplaire a beaucoup de monde, se que ne comprenait pas vraiment Feena.*

« Oui bien sure pas de soucie ! Suivait moi je vais vous y conduire ! »

*Répond la jeune femme a son interlocuteur toujours avec chaleur, douceur et politesse  accompagner d’un sourire, avant de se mettre en route pour l’auberge avec celui si doucement et tranquillement tout tant discutent.*

« Quand vous parlez de tapage, je suppose que vous parliez de musique ? Vous jouer de quelle instrument si se n’ai pas indiscret ? »

Anskar sourit à la jeune femme qui, très gentiment était entrain de l'aider en lui indiquant le chemin d'un endroit où dormir.

"Je vous remercie vraiment mademoiselle de bien vouloir m'aider. C'est très aimable à vous, le parisien n'est pas très sympathique...j'ai demandé mon chemin à plusieurs personne et vous êtes la seule à m'avoir répondu"

Anskar s'arrêta d'un coup net sans prévenir, sous l'effet de la surprise sa monture qui le suivait toujours de près, tiré par les rênes, heurta le dos de son propriétaire qui avança d'un pas forcé.
Il tira sur sa veste puis regarda Rose.

"Je n'ai pourtant rien de particulier !? Si ?!"

Il haussa les épaules sans attendre une réponse de la part de Rose

" Pour tout vous dire je m'en moque en réalité, je n'ai pas à plaire ! "

Il se remit à marcher

" Pour répondre à votre question mademoiselle, oui je parlais de musique lorsque j'évoquais les tapages régulier que je fait,je suis musicien,  je pratique presque tous les instruments, vents, corde, clavier, bois... je suis ici pour plusieurs représentation au violon je pourrais vous faire parvenir une invitation si cela vous intéresse.

Et vous ? Que faites vous à Paris ?"

*Tous tant marchent tranquillement le jeune homme la remercia dans un premier temps de sa gentillesse et de son aider pour ensuite lui raconter ses péripétie dans Paris ou aucunes des personnes qu'il avait croisait et questionnait pour trouvait son chemin l'avait fuies comme la peste a par elle biensure.*

" Je vous en prit ce n'ai vraiment pas grand chose ! mais je peut comprendre votre surprise et désarroi face a l'attitude des gents que vous avait put croiser et qui vous on fut....en quelques jour j'ai put constater, que les parisiens craigne et n'aimer guerre les nobles, se qui est compréhensible vu dans quelle êta de misère ils vivent ! mais forte heureusement ils ne sont pas tous ainsi vous le verrez et le découvrirez au file du temps !"

*Par la suite celui si s'arrêta un instant avant de s'examiner de la tête au pieds pour voir si rien ne clocher chez lui se qui n'était pas le qu'a. Il questionna alors la jeune fille lui demandant son avis sur se point sans lui laisse le temps de lui répondre, affirment qu'il sans moquait bien de plaire au autre ou pas tant qu'il se plaise a lui même se donc partager Feena.*

" Vous avez bien raison ! Je suis parfaitement de notre avis tant que notre image nous plaie a nous même pourquoi faire compliquait ! Je ne porte aucun interer au physique et au vêtement que porte la personne je m'intéresse a se qu'elle est se qu'elle a dans le cœur !"

*Par la suite le jeune musicien répondit a sa question précédente concernant le sois disant tapage donc t'il parler précédemment et si il était musicien et de quelques instrument il s'avait joue. Celui si confirma alors son penser affirment qu'il était bien musicien et a paris pour plusieurs représentations et qu'il métriser de nombreux instrument, se qui fit sourire et raviser la jeune demoiselle qui avait une grand passion et admiration pour la musique.*

"Ho ! c'est formidable ! j'aime beaucoup la musique je joue moi même de quelques instrument mais moins que vous !"

*Celui si lui proposa de l'inviter avec plaisir a certaine de ses représentation si le cœur lui en disait se qui était le qu'a.*

"Ho ! avec grand plaisir merci !"

*Ensuite il lui demanda a son tour le bute de sa présence a paris? Celle si lui répondit toujours dans un doux sourire.*

"Moi !? Et bien ! Je suis ici en touriste pour quelques tant ! Je voyage beaucoup dans diverse pays depuis mon enfance j'aime beaucoup cela ! J'apprend beaucoup de chose et rencontre des personnes  formidable et passionnante au cour de mais voyage ! Tous comme vous j'imagine ? "